À la veille de l’énoncé économique, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) clôt une série d’actions locales par un rassemblement devant les bureaux de la Coalition Avenir Québec (CAQ), dans le quartier Pointe-Saint-Charles, organisé conjointement avec le Regroupement Information logement (RIL).
À 3 semaines du 1er juillet, la ministre de l’Habitation Andrée Laforest a annoncé ce matin son plan d’action. Même s’il reçoit très favorablement l’annonce de 1800 suppléments au loyer d’urgence pour les ménages qui se retrouveront sans logis, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) déplore que les autres mesures soient du réchauffé.
À un mois du 1er juillet, le FRAPRU a tenu ce matin une mobilisation virtuelle réunissant 100 personnes de Montréal, l’Outaouais, la Montérégie, l’Estrie, l’Abitibi-Témiscamingue, la Mauricie, la Capitale-Nationale, le Bas-Saint-Laurent, les Laurentides, Lanaudière et le Saguenay Lac-Saint-Jean, pour dénoncer le sort actuellement réservé aux personnes à risque de se retrouver sans logis à la fin du mois.
Au moment où la pandémie affecte cruellement les ménages mal-logés, 27 organisations sociales, syndicales, féministes, communautaires et autochtones joignent leur voixau Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU)
Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) est profondément déçu par les critères d’éligibilité imposés par le gouvernement Legault pour son programme de prêts sans intérêt aux locataires affectés par la crise sanitaire.
À une semaine du 1er avril, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) et le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) unissent leur voix pour réclamer, de manière urgente, des mesures concrètes du gouvernement Legault pour venir en aide aux ménages locataires qui ne seront pas en mesure de payer leur prochain mois de loyer.
Alors que la situation d’urgence sanitaire due à la COVID-19 continue d’entraîner des pertes d’emplois massives, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) fait écho aux inquiétudes de nombreux ménages qui font face à des pertes subites de revenus.
Alors que le gouvernement de Justin Trudeau s'apprête à déposer son budget 2020-2021, le Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) presse le fédéral de contribuer à lutter contre la crise du logement qui sévit au Québec et dans plusieurs provinces.
Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) est non seulement déçu, mais indigné par le deuxième budget présenté aujourd’hui par le ministre des Finances, Éric Girard.
À une semaine de la journée internationale des droits des femmes, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), le Regroupement des comités logements et associations de locataires du Québec (RCLALQ), la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF), le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale (RMFVVC), et l’R des centres de Femmes unissent leurs voix pour demander au gouvernement Legault d’investir les sommes nécessaires dans un grand chantier de logements sociaux dès son prochain budget et d’instaurer, au plus vite, un contrôle obligatoire et universel du prix des loyers.